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Les faits selon l' Agence France Presse :
L'accident s'est produit peu avant 14H00 le lundi 2 juin au lieu-dit Mésinges dans des circonstances encore mal établies. Le TER assurant la liaison entre Evian-lès-Bains et Genève a percuté le car scolaire transportant 56 personnes, dont 50 élèves de 5ème du collège de Margencel (Haute-Savoie) et six adultes (cinq parents et le conducteur). Les deux classes de 5ème et leurs accompagnateurs se rendaient à la cité médiévale d'Yvoire (Haute-Savoie) dans le cadre d'une classe d'histoire et géographie, a précisé la préfecture.
Le sous-préfet de Thonon-les-Bains s'est rendu sur les lieux de l'accident et le plan ORSEC (Organisation des Secours) a été déclenché. Une cellule de crise a été mise en place à la préfecture. "Selon les premières constatations, le passage à niveau où s'est produit l'accident "aurait fonctionné normalement", a indiqué une responsable de la SNCF. "Les relevés des écrans de contrôle de ce passage à niveau, qui était télésurveillé, nous indiquent que tout aurait fonctionné normalement jusqu'au moment de l'accident", a souligné cette responsable.
Des constatations et des relevés supplémentaires sont toutefois en cours sur les lieux de la collision, a-t-elle ajouté, en précisant que des équipes vont notamment analyser les bris du passage à niveau.
C'est le plus grave accident de car transportant des enfants depuis celui survenu en juillet 1982 sur l'autoroute A6 à hauteur de Beaune (Côte-d'Or), qui avait fait 46 morts. Depuis l'Elysée, où il prononçait un discours sur la réforme de l'Education, le président Nicolas Sarkozy a dit avoir "une pensée pour les victimes" de ce "très grave accident".
"Chacun d'entre nous pense aux enfants, aux adultes, aux victimes quelles qu'elles soient. Et puisque la communauté scolaire et universitaire est rassemblée, on ne peut malheureusement rien faire d'autre que d'espérer qu'il y aura le moins de victimes possible", a déclaré le chef de l'Etat.
La ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, le secrétaire d'Etat aux Transports, Dominique Bussereau, ainsi que le président de la SNCF, Guillaume Pepy, étaient attendus dans l'après-midi à Mésinges sur les lieux de l'accident, où une cellule psychologique a été mise en place pour les enfants et leurs familles.
Par ailleurs, la préfecture de Haute-Savoie a mis en place un numéro vert à la disposition des familles des victimes qui peuvent appeler le 04 50 33 61 33, a indiqué à l'AFP un responsable de la préfecture.
Le sous-préfet de Thonon-les-Bains s'est rendu sur les lieux de l'accident et le plan ORSEC (Organisation des Secours) a été déclenché. Une cellule de crise a été mise en place à la préfecture. "Selon les premières constatations, le passage à niveau où s'est produit l'accident "aurait fonctionné normalement", a indiqué une responsable de la SNCF. "Les relevés des écrans de contrôle de ce passage à niveau, qui était télésurveillé, nous indiquent que tout aurait fonctionné normalement jusqu'au moment de l'accident", a souligné cette responsable.
Des constatations et des relevés supplémentaires sont toutefois en cours sur les lieux de la collision, a-t-elle ajouté, en précisant que des équipes vont notamment analyser les bris du passage à niveau.
C'est le plus grave accident de car transportant des enfants depuis celui survenu en juillet 1982 sur l'autoroute A6 à hauteur de Beaune (Côte-d'Or), qui avait fait 46 morts. Depuis l'Elysée, où il prononçait un discours sur la réforme de l'Education, le président Nicolas Sarkozy a dit avoir "une pensée pour les victimes" de ce "très grave accident".
"Chacun d'entre nous pense aux enfants, aux adultes, aux victimes quelles qu'elles soient. Et puisque la communauté scolaire et universitaire est rassemblée, on ne peut malheureusement rien faire d'autre que d'espérer qu'il y aura le moins de victimes possible", a déclaré le chef de l'Etat.
La ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, le secrétaire d'Etat aux Transports, Dominique Bussereau, ainsi que le président de la SNCF, Guillaume Pepy, étaient attendus dans l'après-midi à Mésinges sur les lieux de l'accident, où une cellule psychologique a été mise en place pour les enfants et leurs familles.
Par ailleurs, la préfecture de Haute-Savoie a mis en place un numéro vert à la disposition des familles des victimes qui peuvent appeler le 04 50 33 61 33, a indiqué à l'AFP un responsable de la préfecture.
Le communiqué du Conseil Régional Rhône-Alpes : Jean-Jack QUEYRANNE, Président du Conseil régional Rhône-Alpes et Bernard SOULAGE, Premier Vice-président délégué aux transports, déplacements et infrastructures font part de leur très vive émotion suite à l’accident entre un TER et un car scolaire dans lequel six personnes ont trouvé la mort et 31 personnes ont été blessées cet après-midi à Mésinges en Haute – Savoie. Ils tiennent à exprimer toute leur émotion et leur profonde compassion aux familles durement éprouvées par ce terrible accident.
Mise à jour à 20h50 :
"Le dernier bilan en début de soirée fait état de sept morts et 25 blessés, dont trois graves, selon la préfecture. Des passagers du TER figuraient parmi les blessés légers, selon la SNCF. L'accident s'est produit peu avant 14H00 au lieu-dit Mésinges dans des circonstances encore mal établies" .
Mise à jour Mardi 3 juin :
Le président de la République Nicolas Sarkozy s' est rendu mardi matin à Allinges... Il était accompagné de Xavier Darcos, ministre de l'Éducation, Michel Barnier, ministre de l'Agriculture et Bernard Accoyer, président de l'Assemblée nationale et député-maire d'Annecy-le-Vieux. La circulation ferroviaire a été interrompue entre Annemasse et Évian (Haute-Savoie) "au moins jusqu'à mercredi matin", afin de déterminer les circonstances de ce tragique accident. Au dernier bilan, sept enfants sont morts et 25 personnes sont blessées (dont 3 graves). Trente-deux autres personnes sont indemnes. Les chauffeurs du TER et du car sont "indemnes mais très choqués". Selon les premiers contrôles des dispositifs de télésurveillance électronique, le passage à niveau a "apparemment fonctionné normalement".
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