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Le taux de chômage national est désormais estimé à partir de la seule enquête Emploi réalisée par l'INSEE.
Les taux départementaux et régionaux s'appellent désormais "taux de chômage localisés". Ils sont estimés via une méthodologie synthétisant les informations de l’enquête Emploi (pour le niveau national) et de l’ANPE (pour la répartition géographique).
Une interprétation plus restrictive du terme "chômeur"
Pour le taux national et les taux localisés, les modifications intervenues dans l’exploitation de l’enquête Emploi sont de deux ordres :
- au niveau de la définition du chômeur : l’interprétation européenne du concept BIT (recherche active d'un emploi) remplace l’interprétation française (moins restrictive) ;
- au niveau de la méthode : changement des méthodes de pondération, utilisation de l'enquête non-répondants à l’enquête Emploi, restriction aux ménages dits "ordinaires".
- au niveau de la définition du chômeur : l’interprétation européenne du concept BIT (recherche active d'un emploi) remplace l’interprétation française (moins restrictive) ;
- au niveau de la méthode : changement des méthodes de pondération, utilisation de l'enquête non-répondants à l’enquête Emploi, restriction aux ménages dits "ordinaires".
Une incidence d' un point sur le mois de février
Ces deux modifications ont produit une baisse du taux de chômage national de 1 point, à raison de 0,7 point pour la première modification et 0,3 point pour la seconde.
Ces deux modifications ont produit une baisse du taux de chômage national de 1 point, à raison de 0,7 point pour la première modification et 0,3 point pour la seconde.
Désormais, les taux seront en moyenne trimestrielle (et non plus en fin de période).
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