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Des incidents particulièrement grâves se sont déroulés en marge de la visite du Président de la République à Vienne dans la région lyonnaise ce mardi 13 mai.
L' article complet sur le blog de LibeLyon
Selon le blog en ligne de LibéLyon, "la scène se déroule dans le centre-ville de Vienne (Isère), mardi en fin de matinée, une heure et demie avant l'arrivée de Nicolas Sarkozy... Il y a énormément de policiers en civil, sur la place et dans toutes les rues avoisinantes. Normal pour une visite présidentielle. Sauf que le journaliste présent constate que les policiers sont en train de contrôler et fouiller les militants, et surtout de saisir tous leurs tracts, leurs autocollants, et même leurs journaux. Celui-ci a Rouge dans son sac ? Saisi. Celui-là l'Huma à la main ? Saisi également. Quelques jeunes gens de la LCR refusent de remettre leurs tracts, ils sont alors menottés et embarqués".
Une multiplication des incidents avec la presse
La scène a été "immortalisée" par un reporter photographe présent sur les lieux. Elle fait l' objet d' une très grande diffusion sur internet. L' affaire risque de faire grand bruit au moment même où les relations entre le président et un certain nombre de journalistes semble se détériorer. On pense aux mises en cause de l' AFP, accusée de ne pas assez transmettre les communiqués de l' UmP ou à cet autre incident entre Nicolas sarkozy et un photographe (de l' AFP encore), décrit ici sur le site Backchich.info-
Commentaires
Bientôt la police politique au bistro du coin ?...
- « Et ben moi Bébert, j’te dis qu’le gouvernement c’est tous des pourris !... allez r’mets-moi un canon chef …»
- « T’as bien raison Jojo : tous des salauds ! … r’mets m’en un aussi Bruno ! »
- (un gars en civil s’approche) : « Police de super proximité, Brigadier Sanssure, vos papiers Messieurs ! Vous êtes coupable de réunion politique non autorisée, déviance intellectuelle et diffamation à l’encontre de membres du gouvernement : vous allez en prendre pour 3 ans fermes minimum mes gaillards ! (prenant un micro dissimulé dans son col de veste) Allô central, Brigadier Sanssure, j’ai un code 1984 aux Trois Obus, place des Droits de l’Homme : envoyez-moi un fourgon y’a 2 terroristes à mettre au frais »
Marc
Mais vous persiflez un peu trop dans vos commentaires...
Nan, c' est pour rire :) Quoique !