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A quelques semaines du congrès du Parti Socialiste, l'heure des comptes a presque sonné et le résultat paraît évident : comme l' indique notre sondage en ligne, Ségolène Royal a une large longueur d' avance en ce qui concerne la motivation de ses militants.
Se plaçant au dessus de la mêlée, l’ ex candidate à la présidentielle a déclaré sur TF1 "il faudrait être sourd et aveugle pour ne pas voir la colère qui monte, l'exaspération" des Français."Je veux mettre un coup d'arrêt à cette lente dégradation du niveau du débat au Parti socialiste, je veux que nous montions d'un cran et donc, ce que je propose, c'est que chacun mette au frigidaire les questions de candidature, soit au poste de premier secrétaire, soit, pire, à l'élection présidentielle parce qu'il y a encore quelques années à attendre".
C’ est Ségolène Royal qui réunit le plus de signatures
Il faut rappeler que ce sont les militants - et eux seuls - qui voteront pour les motions le 6 novembre. Et Ségolène Royal, avec sa présence continue dans la blogosphère et son mouvement Désirs d’avenir, a sû conserver la sympathie d’une grande partie de ces militants, même si selon les sondages “officiels”, elle serait en perte de vitesse.
Selon le site du Figaro, qui a effectué les comptages des soutiens obtenus jusqu'ici par les uns et les autres, il n’ y aurait pas photo : à la date du 10 septembre la candidate à la présidentielle pouvait compter sur plus de 7340 signatures en faveur de sa contribution "Combattre et proposer”, un chiffre à comparer aux 1700 signataires (toujours au 10 septembre) réunis par le Maire de Paris. Bertrand Delanoé, qui n’ a semble-t’ il pas réussi à “lever” un courant de sympathie et surtout un réseau de militants prêts à “en découdre” dans le pays.
La seule capable de mobiliser fortement les militants
Ces dernières semaines, les proches de Ségolène Royal ont certainement analysé, compté et recompté les signatures accumulées par les différents candidats. A ce jeu, Laurent Fabius, même si il peut "discuter" des alliances, est largement distancé. Dominique Strauss Kahn est, on le sait, hors course, tout occupé à gérer la crise financière aux Etats Unis.
Une alliance pragmatique, comme les affectionne Gérard CollombSe plaçant au dessus de la mêlée, l’ ex candidate à la présidentielle a déclaré sur TF1 "il faudrait être sourd et aveugle pour ne pas voir la colère qui monte, l'exaspération" des Français."Je veux mettre un coup d'arrêt à cette lente dégradation du niveau du débat au Parti socialiste, je veux que nous montions d'un cran et donc, ce que je propose, c'est que chacun mette au frigidaire les questions de candidature, soit au poste de premier secrétaire, soit, pire, à l'élection présidentielle parce qu'il y a encore quelques années à attendre".
C’ est Ségolène Royal qui réunit le plus de signatures
Il faut rappeler que ce sont les militants - et eux seuls - qui voteront pour les motions le 6 novembre. Et Ségolène Royal, avec sa présence continue dans la blogosphère et son mouvement Désirs d’avenir, a sû conserver la sympathie d’une grande partie de ces militants, même si selon les sondages “officiels”, elle serait en perte de vitesse.
Selon le site du Figaro, qui a effectué les comptages des soutiens obtenus jusqu'ici par les uns et les autres, il n’ y aurait pas photo : à la date du 10 septembre la candidate à la présidentielle pouvait compter sur plus de 7340 signatures en faveur de sa contribution "Combattre et proposer”, un chiffre à comparer aux 1700 signataires (toujours au 10 septembre) réunis par le Maire de Paris. Bertrand Delanoé, qui n’ a semble-t’ il pas réussi à “lever” un courant de sympathie et surtout un réseau de militants prêts à “en découdre” dans le pays.
La seule capable de mobiliser fortement les militants
Ces dernières semaines, les proches de Ségolène Royal ont certainement analysé, compté et recompté les signatures accumulées par les différents candidats. A ce jeu, Laurent Fabius, même si il peut "discuter" des alliances, est largement distancé. Dominique Strauss Kahn est, on le sait, hors course, tout occupé à gérer la crise financière aux Etats Unis.
La stratégie des élus des grandes agglomérations regroupés autour de "la ligne claire", de Gérard Collomb à Lyon et Jean-Noël Guérini à Marseille , pourrait donc s’ avérer la bonne.
Ceux que la presse nationale a décidé d’ affubler du nom de «barons locaux» (nom qu’ils n’ attribuent ni à la maire de Lille Martine Aubry, ni à Laurent Fabius, élu de Rouen) pourraient revendiquer plus de 600 signatures. Pas de quoi faire peur aux autres, mais suffisament pour "peser".
Le candidat soutenu officiellement par La ligne claire est Pierre Moscovici. L’ axe gagnant pourrait donc bien être constitué autour de ce dernier au sein d’une alliance pragmatique, comme les affectionne Gérard Collomb, allant de Arnaud Montebourg à Manuel Valls, avec le soutien de Ségolène Royal, mais sans engagement de leur part vis à vis d’ elle.
Ceux que la presse nationale a décidé d’ affubler du nom de «barons locaux» (nom qu’ils n’ attribuent ni à la maire de Lille Martine Aubry, ni à Laurent Fabius, élu de Rouen) pourraient revendiquer plus de 600 signatures. Pas de quoi faire peur aux autres, mais suffisament pour "peser".
Le candidat soutenu officiellement par La ligne claire est Pierre Moscovici. L’ axe gagnant pourrait donc bien être constitué autour de ce dernier au sein d’une alliance pragmatique, comme les affectionne Gérard Collomb, allant de Arnaud Montebourg à Manuel Valls, avec le soutien de Ségolène Royal, mais sans engagement de leur part vis à vis d’ elle.
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